Download de Mp3 en toute légalité
Voilà, je me baladais sur le net et je trouve ça:
"DOWNLOAD DE MP3 GRATOS ET LÉGAL"

Citation:
Ce dossier tout d'abord paru dans le n°1 de Ratiatum Magazine en décembre 2004 est divisé en trois pages. Nous étudions tout d'abord le concept avant de voir sa légalité. La troisième page expliquera comment installer StationRipper)


Télécharger StationRipper sur Ratiatum
Site Officiel



Voici sans doute le véritable cauchemar de l’industrie du disque. Le Peer-to-Peer n’est que le sommet émergé d’un iceberg qui ne peut que faire se noyer le Titanic du droit d’auteur actuel. Sous l’océan de l’Internet se cache en effet des rocs bien plus solides et dangereux que les Kazaa et autres eDonkey. StationRipper est de ceux-ci. Le logiciel créé par l’américain Greg Ratajik permet en effet d’accumuler sur son disque dur des centaines d’heures de musique au format MP3, quasiment sans le moindre effort, et surtout… en toute légalité !



Comment ça marche ? C’est très simple. Il existe actuellement plusieurs dizaines de milliers de stations de radios qui diffusent de la musique en permanence sur Internet. Jusqu’à la fin des années 90, il était encore très répandu d’enregistrer des émissions sur des cassettes audio, et même si la qualité n’atteignait pas la celle des disques, beaucoup s’en contentaient largement. StationRipper reprend donc le même principe, mais adapté à l’ère numérique, avec tout ce que ça implique.

Et ça implique énormément. En effet, le logiciel de Ratajik permet d’enregistrer en direct jusqu’à 300 stations de radio simultanément, comme si vous aviez 300 magnétophones à votre disposition ! Mais là où la chose devient vraiment intéressante, et inquiétante pour les majors, c’est que les flux de radios sur Internet (appelés « streams » en anglais) ne sont en réalités que de simples fichiers MP3 mis les uns à la suite des autres, et enregistrés comme tels sur votre disque dur par StationRipper.

« L’idée m’est venue tout d’abord parce qu’il n’y avait pas de bons programmes qui pouvaient ripper les stations Shoutcast », nous explique Greg Ratajik. Shoutcast est la technologie la plus utilisée par les radiodiffuseurs sur Internet, elle a été mise au point par Nullsoft, les créateurs du célèbre lecteur de fichiers MP3 Winamp. S’il n’y avait pas de bons logiciels à l’époque, StationRipper ne s’inspire toutefois pas moins de ce qui existait alors. Il utilise en effet les bases de StreamRipper, dont le code source a été généreusement offert à la communauté des développeurs par son créateur Jon Clegg. Apparu au début des années 2000, StreamRipper est né dans la continuité de Napster et de la passion d’alors pour la musique au format MP3, encore révolutionnaire à cette époque. Mais, rappelle Ratajik, « il ne pouvait enregistrer qu’un seul flux à la fois, l’interface était ennuyante, et c’était difficile de trouver des station ». « J’ai donc conçu StationRipper, et les trois premières fonctions principales ont été la possibilité d’enregistrer jusqu’à 300 flux simultanément, une meilleure interface utilisateur, et la page de Shoutcast intégrée dans l’application pour rendre très simple la recherche des stations et leur enregistrement », conclue t-il.

40H de musique enregistrée en une heure de connexion !

Le résultat est sans appel. StationRipper est d’une étonnante simplicité d’utilisation, et d’une efficacité redoutable. Une fois installé, le logiciel affiche directement la page d’accueil de Shoutcast, qui propose un accès à plusieurs milliers de stations de radio, classées par genre. Naviguez sur le site pour trouver un flux qui vous intéresse, puis cliquez sur l’icône « Tune In ». Sans plus d’effort, les premiers MP3 commencent à arriver sur votre disque dur, prêts à être écoutés. « Beaucoup des stations de radio MP3 ne jouent que certains genres, donc vous pouvez télécharger une collection entière de musique goa/trance, de jazaa, de punk rock ou quoi que vous souhaitiez », expliquait Jon Clegg. Mais avec StationRipper, vous pouvez sélectionner autant de stations que vous le souhaitez (jusqu’à 300, rappelons le), et elles seront enregistrées indépendamment les unes des autres, dans des dossiers différents. Si jamais deux radios passent le même titre, à des heures différentes, pas de problème. StationRipper repère le doublon et n’enregistre pas deux fois la même chanson ! Plus fort encore, si vous décidez de faire le tri et d’éliminer des titres de votre disque dur, le logiciel le repère et fera l’impasse sur l’enregistrement lorsque les morceaux seront à nouveau diffusés. Pour peu que vous disposiez d’une connexion à haut débit, vous pourrez enregistrer plusieurs heures de musique en moins d’une heure. Avec une connexion de base à 512kbps, vous pouvez théoriquement enregistrer jusqu’à 4H de musique encodée en 128kbps. Mais si vous êtes abonnés à Free et en plus dégroupé, votre Freebox à 5Mbps permet d’enregistrer… 40H de musique en une seule heure de connexion ! De quoi rendre totalement folle l’industrie du disque.

Et pourtant, c’est légal

En France, la loi dispose que les ayants droits d’une chanson ne peuvent interdire « les copies ou reproductions strictement réservées à l’usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective ». En plus clair, les auteurs, artistes et producteurs ne peuvent pas vous interdire de copier la musique qui est diffusée à la radio pourvu que vous soyez le seul bénéficiaire de cet enregistrement. Dans le P2P, cette dernière restriction est très exactement ce qui pose problème. Même si certains juristes comme Jean-Baptiste Soufron argumentent avec talent que l’utilisateur d’un réseau Peer-to-Peer est protégé par l’exception pour copie privée, la plupart maintiennent toujours que l’upload, c’est-à-dire la mise en partage des fichiers téléchargés, est illégal car ne constituant pas une copie réalisée pour le seul usage privé de la personne qui télécharge. Difficile en effet de soutenir qu’un téléchargement qui s’accompagne symétriquement d’une mise à disposition est une copie réalisée pour son seul usage. En copiant, l’utilisateur copie également au profit de celui qui viendra copier à son tour. Avec StreamRipper, ces débats passionnants (au moins pour les juristes) n’ont pas lieu d’être, puisque l’enregistrement d’une radio MP3 consiste uniquement dans le téléchargement et non dans l’upload. La seule personne à mettre à disposition la musique auprès des utilisateurs est la station de radio, qui est censée avoir payé ses droits de diffusion à la SACEM ou à son équivalent national dans les autres pays.

Aussi surprenant que ça puisse paraître, il n’y a pas de question d’échelle lorsque l’on parle de copie privée. Que vous enregistriez une onde radio avec votre vieux magnétophone sur une cassette à bande magnétique, ou que vous enregistriez 300 flux numériques simultanément au format MP3, au niveau juridique, le résultat est le même. Il s’agit dune copie privée, ou dans notre cas, d’une multitude de copies privées. Cette lecture de la loi a d’ailleurs été confirmée récemment à Rodez lorsque le juge a relaxé un internaute qui avait pourtant chez lui rien moins que quatre cent quatre-vingt huit copies de films !

Nous avons contacté diverses organisations de professionnels de la musique, parmi lesquelles la SACEM et la Société Civile des Producteurs de Phonogrammes (SCPP), afin de connaître leur opinion sur la question. Aucune n’a donné suite à nos appels. Pourtant StreamRipper, qui n’est qu’un logiciel parmi d’autres, démontre bien que l’industrie du disque ne fait que repousser le problème en s’attaquant aux utilisateurs de Peer-to-Peer. Il démontre que la musique sur Internet n’est pas faite pour être vendue à l’unité, mais pour être écoutée à volonté, comme un gigantesque juke-box interactif. Et au fond, cette disponibilité sans fin est peut-être bénéfique pour les ventes. « Personnellement, la raison principale qui me pousse à enregistrer est de trouver de la musique », insiste Greg Ratajik. Lui qui aime particulièrement les musiques obscures, loin des Star Academy et autres Lori, explique avoir découvert beaucoup de morceaux qu’il n’aurait probablement jamais connu sans les avoir enregistrés sur Internet. « Le résultat n’est pas toujours génial, parfois les animateurs parlent par-dessus la musique, ou il manque la fin de la chanson, donc je finis souvent pas acheter les enregistrements que j’aime », témoigne l’inventeur du logiciel, qui a même intégré à StreamRipper un bouton permettant d’acheter les morceaux enregistrés. Avec plus d’un million d’utilisateurs, StreamRipper est probablement sur la voie de devenir le nouveau Napster.

Installer et utiliser StationRipper 2.01 pour Windows

Vous pourrez télécharger très facilement StationRipper en vous rendant sur son site officiel (www.stationripper.com), puis en cliquant sur « Download » sur le haut de la page. De là un lien vous conduira sur une page où le téléchargement se lance automatiquement. Bien sûr, nous le mettons également en partage permanent sur la majorité des réseaux P2P, il suffira donc de rentrer « StationRipper » sur le moteur de recherche de Ratiatum.com pour le trouver et le télécharger en un clic, directement dans votre logiciel de Peer-to-Peer préféré.

Par soucis d’intégrité, nous avons choisi d’expliquer dans ces pages le fonctionnement de la version 2.01 du logiciel, la dernière disponible à l’heure de notre bouclage. Cellec-ci bénéficie d’une interface revue pour être plus facile à utiliser, de meilleurs options de filtrage, ou encore de la possibilité d’encoder les stations iTunes. Néanmoins, alors que la première génération du logiciel était entièrement gratuite, StationRipper 2.01 est relativement limité dans sa version de base, notamment en ce qu’elle limite désormais à deux stations le nombre d’enregistrements simultanés au lieu de 300. Il en coûtera $14.99 pour débrider les fonctions. La version 1.13, gratuite et pleinement fonctionnelle, reste disponible notamment via Ratiatum.com, et conviendra à la plupart des utilisateurs. Les instructions qui suivent se concentrent sur l’utilisation de la version 2.01 gratuite.

Une fois StreamRipper téléchargé, lancez le fichier d’installation :



Comme vous pourrez le remarquer, le logiciel n’est disponible que dans la langue de Shakespeare. Si vous y êtes allergique, pas de panique. Cliquez sur « Next », changez le répertoire d’installation si vous le souhaitez, puis cliquez sur « Install ». Laissez la case cochée, un clic sur « Finish » lancera alors StationRipper. Si l’anglais n’a pas de secret pour vous, il pourra toujours être utile de naviguer entre les différentes astuces affichées au démarrage. Mais passons. Appuyez sur « Close », et nous allons rentrer dans le vif du sujet.

La fenêtre qui s’affiche rappelle que « StationRipper est destiné à l’enregistrement de stations de radio en ligne, pour usage personnel uniquement » et que « toute autre utilisation (par ex. le partage massif de fichiers) de la musique enregistrée par ce logiciel est prohibée ». Il s’agit donc d’un rappel des règles du fair use américain, qui s’applique parfaitement à notre droit français à la copie privée. Sauf si vous n’êtes pas d’accord avec ces conditions (mais vous l’êtes, n’est-ce pas ?), cliquez sur « I Agree », puis validez par « OK » avant de fermer la dernière fenêtre qui vient retarder l’utilisation du logiciel.



S’affiche alors une page « StationRipper Portal », avec une première liste de quelques radios. C’est à partir de cette fenêtre que nous pourrons lancer l’enregistrement des radios. Mais avant tout, rendons nous dans les options afin de choisir où seront stockées les chansons enregistrées. Les options se trouvent sous le menu « View » du logiciel. Ce qui nous intéresse particulièrement dans ces options est le champ « Output Directory ». Cliquez sur le bouton qui lui correspond, puis sélectionnez l’endroit où vous stockez généralement vos MP3. Le plus simple étant bien sûr de choisir « Ma Musique » dans le dossier « Mes Documents », mais libre à vous de choisir tout autre emplacement, ou de laisser celui indiqué par défaut par StreamRipper. Dans ce dernier cas, n’ayez pas peur de perdre trace de vos chansons, un clic sur « MyMusic » dans le logiciel permet de dresser la liste de l’ensemble des titres enregistrés, et de les écouter.

De retour sur la page « StationRipper Portal », affichée par défaut, préférez le site officiel de Shoutcast, bien plus fourni, en cliquant sur le lien correspondant dans le haut de la page. Le site de Nullsoft (les créateurs de Winamp) recense en effet plusieurs milliers de stations, parmi lesquelles il serait étrange que vous ne trouviez votre bonheur. Pour le trouver, justement, deux méthodes. Premièrement, vous pouvez classer les radios par genre grâce à la liste déroulante à droite de Shoutcast. Le champ de recherche à gauche vous permet lui de nommer directement une radio dont vous connaissez le nom, ou même de rechercher un artiste ou une chanson précise qui serait entrain d’être diffusée :



Entrez par exemple « Madonna », et une liste de radios s’affiche (il est amusant de voir que quels que soient l’heure ou le jour, il y a toujours au moins deux ou trois radio entrain de jouer un titre de la madone). Dans cette liste, sauf si vous soufrez d’une connexion Internet à bas débit, optez toujours pour le « bitrate » maximal. Plus le bitrate est élevé, plus la qualité finale de votre enregistrement sera bonne. Certaines radios émettent jusqu’à 320 kbps, mais 192 est suffisant pour la plupart des appareils auditifs – et gardez également à l’esprit que plus le bitrate est élevé, plus la place de stockage requise sur votre disque dur ou votre baladeur MP3 est grande.


Lorsque vous pensez avoir repéré une radio intéressante, cliquez sur « Tune In » à gauche de son nom. Et voilà ! Le stream MP3 est ajouté à la liste dans le bas du logiciel, et vous pouvez voir qu’il enregistre immédiatement ce qui passe sur la webradio, sans plus d’intervention nécessaire de votre part. Cliquez une seconde fois, et deux flux MP3 se retrouvent enregistrés en même temps. Si vous achetez la licence du logiciel (ou si vous utilisez la version 1.13…), ce sont théoriquement jusqu’à 300 flux que vous pourrez gloutonner de la sorte !



Rien ne vous interdit d’écouter pendant que vous enregistrez. Il suffit en effet de cliquer avec le bouton droit de la souris sur la station que vous souhaitez écouter, et de cliquer sur « Listen to this station ». Winamp ou votre logiciel de lecture MP3 habituel s’ouvrira alors et vous entendrez ce que vous êtes en même temps entrain d’enregistrer.

Pour finir, vous pourrez gérer la liste des morceaux que vous avez enregistré depuis la fenêtre « My Music Library », accessible en cliquant sur l’icône MyMusic. Il vous sera bien évidemment possible de les écouter, mais aussi de supprimer celles que vous ne désirez pas garder. Elles ne seront pas réenregistrées si elles passent une seconde fois !



Si vous souhaitez transférer ces morceaux sur un baladeur MP3, le bouton « Open Folder » ouvrira le dossier où se trouve les fichiers, et vous n’aurez plus qu’à procéder comme vous le faites habituellement.

Et tout ceci, rappelons-le, en toute légalité !

source: http://www.covercomoz.com/forum/showthread.php?s=&threadid=3874


Sinon vous trouverez aussi dans le forum rubrique Bidouilles spécial Forum:

-Ecoute la musique de ton choix gratuitement

Ecoute la musique de ton choix simplement par recherche avec mot-clé : le nom de l'artiste ou le titre de la chanson désirée. Pour les webmasters ce site permet aussi de créer une liste de diffusion de chanson pour leur site. Du coup, la rédaction du plan c'est faite sur "I blame it on the moon" par Katie Melua Wink. Magnifique site, d'autant plus que cela permet de se construire légalement une belle collection de mp3!

et:

Dans le meme genre Un site où tu peux trouver des infos sur des groupes de musique progressive – Art Rock, Jazz Rock, Krautrock, Electronic Prog, Psychedelic, etc. - connus ou pas : Jethro Tull, Supertramp, Marillion, Pendragon, Genesis, Yes, Amon Düül II, etc. ainsi que des mp3 gratuits.

et:

Site regroupe des MP3 gratuits de divers artistes et labels indépendants, de tous horizons, à découvrir ! Différents genres : hip-hop, rap, slam, electronica, Funk, Jazz, Métal, Punk, etc. Avec en plus la présentation des artistes, des infos sur leurs concerts. Tu trouveras également une webradio (Radio404) et leur chaîne de télévision 'TV404' qui diffuse des clips (en maintenance pour le moment). Très sympa et on y trouve de vrais talents encore méconnus. Tu auras besoin de Real Player !

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